
Assistante Production

- Comment avez-vous atterri dans le monde du cinéma ?
J’ai atterri dans le milieu de cinéma grâce à un service civique où je devais organiser des ciné-débats dans les prison, établissements scolaires etc. autour d’une valise de 30 films. J’ai pris goût aux festivals, j’ai fait beaucoup de bénévolats. Et puis en arrivant à Bruxelles j’ai postulé dans une maison de production de films dans laquelle je suis actuellement reader. Aussi, mon master d’Anthropologie m’a permis de m’orienter vers l’Anthropologie visuelle et je commence à réaliser mon premier documentaire.
- Pourquoi vouloir travailler dans ce secteur ? Qu’est-ce qui vous attire ?
J’aime l’entraide qu’il y a dans ce domaine. On peut être amateur et trouver un grand nombre de personnes qui veulent bien nous soutenir. J’aime pouvoir voyager dans les vérités de chacun à travers le cinéma.
- Auriez-vous une anecdote du tournage à nous partager ?
Le tournage pour moi était une première, j’y ai découvert tout ce côté de la réalisation du film de fiction. J’ai beaucoup aimé le tournage dans le parking mais j’ai préféré celui dans l’appartement privé car on se connaissait mieux et cachées dans notre cuisine avec Ludivine et Lubna nous avons bien rigolé en silence. J’ai d’ailleurs rencontré des personnes très chouettes !
- Pourquoi faut-il aller voir CASE ?
Case est un film qui a gagne à être connu pour l’équipe qui s’est formée autour de Jérôme qui a eu l’étoffe d’un parfait meneur. Nous venions tous d’horizons différents, aux âges et aux métiers différents et il a su créer une équipe autour de son projet. C’est l’exemple même d’un projet collaboratif. J’ai beaucoup appris sur la technique et j’ai aussi beaucoup appris sur moi même.
By Lola Dubrunfaut